La géométrisation du mouvement au XVIIe siècle selon l’intelligibilité géométrique de l’époque se heurte à des difficultés liées à la considération de l’infini, au problème de la continuité du commencement de la fin du mouvement, et à la diversité des mouvements accélérés. Cet article examine les solutions proposées par Galilée, Descartes, Mariotte, et finalement Newton (pour la continuité) et Leibniz (pour le commencement).
Biografia do Autor
Michel Blay
Directeur de recherche, CNRS, Ecole Normalle Supérieure Fontenay-St.-Cloud